Je ne suis pas écrivain, mais j’ai beaucoup d’imagination, donc veuillez me pardonner pour les fautes grammaticales et d’orthographes dans ce récit. Pour la partie réelle de ma personne : J’ai 61 ans, je me travesti depuis mon plus jeune âge et comme je vis seul je possède une belle garde robe féminine et des accessoires BDSM. J’habite une Maison isolé dans une petite commune limitrophe d’une ville de la région Est de la France. Le soir et pour la nuit je dors en nuisette ou en tenue de bébé adulte avec couches, j’adore ça.

Voici l’histoire Imagination ou faits réels à vous de voir ?. Voila ce qui met arrivé une nuit de juillet dernier 2011. Ce soir là je décides comme je le fais souvent de m’habiller en tenue de Bébé, il faut dire que je possède plusieurs robes de Sissy Bébé de différentes couleurs, et tout les accessoires qui vont avec, donc après ma toilette j’opte pour une robe Sissy rose avec son petit bonnet rose garnie de dentelles, puis je m’équipe de ma cage de chasteté une CB-6000, d’une couche culotte bien garnie, d’une culotte plastique pour les fuites en effet il m’arrive de faire dedans la nuit, d’un collant blanc et par-dessus une culotte Sissy Rose à froufrou. Avant d’aller au lit je me fais chauffer une infusion ça me fait dormir et en plus me donne assez vite envie de faire pipi dans mes couches. Je me mets au lit vers 22 heures et m’endors comme un bébé si l’on peu dire. Au milieu de la nuit j’entendis un bruit de pas et des chuchotements, je remonte vite fais les draps sur moi et commence à angoisser et à trembler de peur, ne sachant plus que faire j’étais tétanisé quand soudain je vis une ombre entrer dans la chambre et un faisceau de lampe de poche éclairer le lit, je ne pus me retenir de dire à l’inconnu, je vous en supplie ne me faite pas de mal ! Là bien sur l’inconnu aussi surpris que moi appel son collègue en disant il y a quelqu’un dans la maison vient m’aider, le premier homme me plaque sur lit et le deuxième allume la lumière de la chambre pour venir à son aide. Quand il mon vu dans cette tenue ils n’ont pas pu s’empêcher d’éclater de rire, regarde dit l’un, ont est tombé chez une vielle tantouse perverse, ils me tirent hors du lit en me tenant les bras, j’étais mort de honte et de peur aussi et quand ils mon vu debout dans la tenue que j’étais ils m’insultèrent et me menacèrent de me jeter à la rue habillé comme ça à moins que je me tienne bien sage. Ils me poussèrent au milieu du salon et m’attachèrent les mains dans le dos avec une cordelette, puis ils me posèrent des questions sur ma situation familiale, si je vivais seul, si je travaillais ou vue mon âge si j’étais en retraite etc.. Je ne voyais pas leurs visages, car ils portaient des cagoules mais d’après leurs mains il y avait un homme blanc et un homme noir. Puis l’un des hommes pris son téléphone portable et commença à me prendre en photo qu’il envoya je pense aussitôt à quelques amis et il me dit, comme ont ne s’avaient pas ou passer des vacances avec les amis je trouve que ça serait sympa que l’ont viennent quelques temps chez toi, en plus j’ai vu que tu avais une piscine et un grand jardin pour faire des soirées barbecues avec les copains ça sera idéal, tu vois quelques chose à dire ? bien sur je ne répondis rien j’avais trop peur des représailles. L’un des deux hommes me demande mes clefs de voiture, je lui donne, je vais chercher les amis et il me laissa aux mains de l’autre homme pour me garder, je n’en menais pas bien large et la peur me fit uriner dans ma couche, je dus attendre plus d’une heure debout au milieu du salon pendant ce temps celui qui était resté là, était assis dans mon canapé regardant la télé et sirotait un apéro. Au bout d’un moment je lui demande si je pouvais m’assoir car j’étais fatigué, ce qu’il refusa bien évidement mais il ce leva pris ma sucette bébé qui pendait à mon cou attachée avec un ruban et me la colla dans la bouche, comme ça tu vas la fermer me dit il. Au bout d’une heure j’entendis des voitures qui rentraient dans ma cour et des portes claquer, des bruits de voix et je vis rentrer trois jeunes filles et un homme très tipé, une des filles était de couleur également, ils n’avaient pas de cagoules et étaient à visage découvert, puis je suppose que l’autre homme qui suivait était mon agresseurs de tout à l’heure lui aussi était à visage découvert et dit à celui dans le canapé qu’il pouvait enlever ça cagoule car ils avaient trouvés un moyen afin d’être tranquille pour la suite. Bien sur quand les nouveaux arrivant mon vu dans cette tenue, ils n’arrêtaient pas de rire aux éclats et une des jeunes fille vint vers moi, et souleva ma petite robe et constata que j’étais bien en couche, et elle me dit, alors ma grosse tantouse on fait encore pipi dans ces couches à ton âge tu n’a pas honte, elle tira sur l’élastique de ma culotte plastique, passa une main pour constaté si ma couche était humide et elle dit mais c’est quelle à fait pipi cette vieille cochonne, tu mérite que l’on te mette le nez dedans. Mon premier agresseur vint vers moi et me détacha les mains, il me fit mettre à genoux devant la table basse du salon et posa une feuille de papier et un stylo devant moi. Tu vas écrire une lettre comme quoi tu nous prête ta maison avec tout le mobilier et ta voiture pour les vacances de juillet, je dus m’exécuter sans broncher et signer ce fameux papier de peur des représailles, puis ils prirent tous des photos de moi avec leurs téléphones portable. Pendant ce temps les autres faisaient le tour de la maison, ouvraient les placards, se servaient dans le frigo, allumaient mon ordinateur, la télé, une des filles appela les autres pour leur montrer que l’un de mes placards était rempli de vêtements et de sous vêtements de fille, mais aussi des tenues d’écolières et de soubrettes, ils découvrirent également certains accessoires comme des martinets menottes, cravache, bâillon boule, collier de chien et aussi des godes de différentes tailles. La fille de couleur vint vers moi et me balança une violente paire de claque en me traitant de sale pervers, qu’elle détestait les PD et que j’allais en baver. Elles m’obligèrent à changer les draps des chambres pour qu’ils puissent en prendre possession pour la fin de la nuit, je dus m’exécuter immédiatement sous le regard hilare des filles, je ne savais toujours pas ce que j’allais devenir, une des filles vint vers moi et me dit, tu veux dormir ou ? Je lui réponds dans ma chambre et la à nouveau une grande paire de claque, tu ne m’as même pas laissé finir ma question, je voulais te donner le choix entre la niche du chien que j’ai vu dehors ou le coffre de la voiture, mais comme tu as répondu sans mon ordre ça sera la niche du chien. Elle demanda à un des hommes de me conduire à la niche, celui-ci prit des cadenas et des menottes dans mes affaires puis me conduisit dehors jusqu’à la niche, il me menotta les mains dans le dos, puis il fixa une chaine cadenassée à mon collier et me souhaita bonne nuit. Vous pouvez me croire que je n’ai rien dormi de la nuit en plus j’étais toujours habillé dans ma tenue de bébé avec mes couches trempées et je n’avais qu’une peur c’est de voir au matin arriver le facteur ou une autre personne du village surtout que la niche se trouvais sur le coté de la maison d’où l’on pouvait me voir de la route. ______________________ la suite bientôt.